« L’adversité qui unit plus fort ? » est un livre qui plaira aux motards qui aiment se perdre dans des romans qui parlent de leur passion : la moto.
Résumé du livre « l’adversité qui unit plus fort ? »
L’histoire (inspirée de faits réels) se passe en 1980, elle met en scène des jeunes d’une vingtaine d’années passionnés de motos, qui sont plongés bien malgré eux, dans un univers complexe.
Deux garçons, Luc et Eric, liés par une solide amitié et par une passion commune pour la moto, vont faire face à un enchaînement d’événements plus incroyables les uns que les autres.
La peur, le goût du risque, mais aussi la tentation, et la curiosité d’en savoir d’avantage vont les pousser à prendre des risques. Des sentiments forts, tel que l’amour, viendront aussi s’ajouter à leur périple.
Sommes-nous vraiment les plus forts face à l’adversité ?
Quelques informations sur l’auteur : Yves Behar
L’auteur, Yves Behar, né en 1955 à Marseille publie son premier ouvrage en 2014, Cette histoire inspirée de faits réels, est rédigée en 1980. Après une formation pourtant scientifique, l’éloignant du littéraire, l’attirance de l’écriture s’impose quand même à lui. Cette envie, comme il la définit, est plus forte que tout. Ses références auteurs sont : Gilles Legardinier, Hervé Commère, Guillaume Musso, Agnes Abécassis et Nadine Monfils. « L’écriture c’est plus fort que tout. »
Informations sur le livre d’Yves Behar
- Collection : classique
- Date de publication : 4 décembre 2014
- Nom : l’adversité qui unit plus fort?
- Langue : français
- Auteur : Yves Behar
- Nombre de pages : 140
- ISBN livre papier : 9782332845009
- ISBN livre numérique : 9782332845016
- Prix livre papier : 14 €
- Prix livre numérique : 8.40 €
- Prix pack livre papier + numérique : 15 €
- Livre un extrait du livre « l’adversité qui unit plus fort? »
- Site pour acheter le livre
Cindy Belpalme
« Le plaisir moto ne se partage pas, il est égoïste, il est pour celui qui tient le guidon,
mais ce sont les émotions que l’on partage »
Une belle citation de l’auteur dans le livre, (page 134)
que je trouve tellement vraie.
Une belle histoire qui ravive des beaux souvenirs.
je conseille 😉